C’est de la bouche, ou du tweet, du cofondateur et président du studio Young Horses que l’on apprend une belle nouvelle… En 2014, l’équipe sortait sa première production : Octodad. En 2020, elle accompagna le lancement de la PlayStation 5, avec Bugsnax. Le titre arrivait alors par la plus accessible des portes, puisqu’il faisait partie des premiers jeux récupérables « gratuitement » à condition d’être abonné au PS+, ce denier qui nous gâte particulièrement ce mois-ci. Mais après son passage par le service de Sony, qu’en a-t-il été ?
C’est à cette question que nous apporterons des éléments de réponses. Grâce aux mots de Philip Tibitoski :
Le message est clair, Young Horses remercie les joueuses et joueurs qui ont fait assez fort. En effet, Bugsnax, en plus d’avoir été téléchargé un nombre de fois considérable (nous supposons), est devenu le jeu le plus vendu du studio localisé à Chicago. Mais tenez-vous, car nous parlons bien de ventes isolées des téléchargements dans le cadre du bouquet PS+. Le jeu étant resté récupérable jusqu’au 5 janvier pour les abonné(e)s. On imagine donc que ces nouvelles ont été au moins très encourageantes pour Young Horses, qui en quelques semaines a dépassé la barre des ventes de leur précédente production : Octodad. Sorti en 2014 sur PS4, entre autres, le titre a dû fédérer une certaine communauté. Communauté qui a sans doute répondu présent au moment de la parution de Bugsnax.
Mais pourquoi « Bugsnax » ?
Pour les retardataires ou ceux qui ont pu passer totalement à côté de l’arrivée du jeu, voici quelques éléments qui pourraient vous donner envie de rejoindre l’aventure. Et de doper un peu plus les chiffres de Young Horses, ce qui serait toujours bon à prendre pour eux.

Donc, les bugsnax, ce sont des créatures « mi-insecte, mi-snack ». Et vous, vous incarnez un journaliste en quête d’informations croustillantes ! Ce dernier ne va pas être déçu… En vue à la première personne, le jeu prend place sur l’île de Snaktoot, et les mystères grouillent. Irez-vous les percer ?