Des débuts difficiles et peu reconnus
Au cours de l’année 2001, les développeurs de Lost Boys Games ont une inspiration débordante. Se sentant plus à l’aise sur la console Game Boy Color, ils proposent à plusieurs éditeurs la création de nouvelles licences avec des personnages originaux, mais se heurtent à un mur de méfiance.

Sans succès de ce côté et devant faire ses preuves, Lost Boys Games accepte de mener à bien des projets de commande. Entre 2001 et 2002, le studio publie quatre jeux oubliables mais qui lui permettent néanmoins de se faire la main : Dizzy’s Candy Quest, Rhino Rumble, Black Belt Challenge et Invader.
À partir de 2003, le jeune studio vit son second tournant. Le PDG du conglomérat Lost Boys, qui le possède toujours, fonde une nouvelle entreprise de média qu’il appelle Media Republic, à travers laquelle il acquière 75% de Lost Boys Games. C’est à cette époque que le studio change de nom pour adopter celui connu de tous aujourd’hui : Guerrilla Games.
