4 ans après le raz-de-marée God of War, qui avait fini sa folle course avec le titre de Jeu de l’année 2018, Santa Monica revient dans l’arène avec God of War Ragnarök, une suite directe sur PS5 et PS4. Ce jeu, qui est certainement la plus grosse cartouche de PlayStation en 2022, a été l’un des plus attendus de ces dernières années, allant jusqu’à provoquer des polémiques inutiles autour de ses reports et du manque initial de promotion. Mais tout cela est derrière nous à présent, car voici enfin venue l’heure du grand TEST ! Alors, les nouvelles aventures de Kratos sont-elles à la hauteur de celles de 2018 ? Santa Monica va-t-il refaire le coup en raflant à nouveau le GOTY ? Retrouvez toutes les réponses sans plus attendre dans le test ci-dessous.
Avant-propos
Le retour de Kratos sur nos écrans est toujours un phénomène attendu par toute une communauté. La suite de l’opus de 2018, qui avait été largement encensé par la critique lors de sa sortie, fait face à un défi que l’on pourrait qualifier d’Olympique : parvenir à égaler la prestation de son illustre ainé, tout en nous proposant, à nous, simples mortels, une aventure épique, unique et mémorable qui réussit à la surpasser.
GOW de 2018 avait réussi le tour de force de réinventer la série, en s’écartant de certaines conventions qui avaient fait le succès de la saga sur les précédentes générations, tout en conservant sa mise en scène hollywoodienne, sa frénésie et ses combats de boss légendaires. Avec cette suite intitulée Ragnarök, initialement prévue pour 2021 mais finalement reportée jusqu’au 9 novembre 2022, les équipes de Santa Monica Studio nous proposent de traverser le Fimbulwinter, cet hiver de trois ans qui prophétise l’arrivée du Ragnarök, l’apocalypse selon la mythologie nordique. Au travers de notre périple, nos deux héros partiront à la recherche de réponses concernant Atreus et le rôle qu’il doit endosser afin de changer le destin qui le lie à la fin du monde.
À noter que Cory Barlog, figure emblématique du studio californien, n’officie pas en tant que Directeur sur ce titre, la responsabilité ayant été octroyée à son collègue et vétéran Eric Williams. Dernière grosse exclusivité de l’année pour Playstation, le jeu fait d’ores et déjà parti des sérieux prétendants au Game Of The Year 2022, avec entre autres, en face de lui, la dernière création de From Software, Elden Ring.
Ce Ragnarök est-il la suite que nous attendions ? Faisons-nous face à un nouveau tour de force ? Parvient-il à surpasser son prédécesseur, ou ne s’inscrit-il au fond que dans sa continuité ?
4 ans de dur labeur auront été nécessaires aux équipes d’Eric Williams et de Cory Barlog pour proposer une suite au magistral GOW de 2018, qui aura posé les bases du renouveau de la saga, en faisant table rase de la plupart des éléments ayant fait le succès de la série, sans jamais dénaturer l’âme et la substantifique moelle du jeu. Si ce dernier avait pour objectif de proposer une nouvelle approche aux aventures de Kratos, il est tout à fait normal pour Ragnarök de capitaliser sur cette évolution. Aussi, nous pensons qu’espérer un renouvellement de la série n’aurait pas nécessairement de sens, surtout lorsque les nouvelles fondations sont aussi solides. Ragnarök s’inscrit donc naturellement dans la lignée de son prédécesseur, et le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeu nous embarque une nouvelle fois dans un univers riche, d’une beauté époustouflante par moment, à travers une narration maîtrisée et un équilibrage rarement égalé.
L’as des ases
Ce que l’on peut affirmer avec certitude avec Ragnarök, c’est que ni Kratos ni Atreus ne sont venus pour éplucher les oranges. Le jeu tabasse, et il tabasse fort. Mais avant même d’évoquer le système de combat, c’est le renouvellement du gameplay tout au long de l’aventure qui nous a agréablement surpris.
Naviguant entre phases de plateformes, de combat et d’énigmes (très bien pensées, et parfois même retorses !), le jeu utilise à merveille son environnement pour nous permettre de progresser dans l’histoire d’une façon fluide et cohérente. Le lac des Neuf étant désormais gelé, difficile de se déplacer dessus avec une barque (toujours présente dans le jeu, on vous rassure) : c’est là que le traîneau trouve son utilité, et bien d’autres moyens de déplacement seront proposés dans l’aventure, venant offrir un souffle très appréciable entre des salves de combats frénétiques.
La multitude de personnages centraux dans l’épopée de Kratos amènera elle aussi son lot de nouveautés. Atreus est bien entendu de la partie (et bien plus qu’en 2018), et d’autres alliés seront amenés à nous prêter main forte, ce qui vient naturellement enrichir notre expérience et rafraîchir la jouabilité. Il est par exemple toujours possible de compter sur son fiston pour nous prêter main forte par le biais du bouton carré pour décocher quelques flèches, bien pratiques pour faire vaciller les adversaires, surtout quand ils sont en nombre important. Différents types de flèches sont dorénavant utilisables, permettant d’alterner entre dégâts pur, étourdissement, explosion etc.
En ce qui concerne le corps à corps, le jeu reprend les mécaniques déjà établies : R1 pour les attaques rapides, R2 pour les attaques lourdes et un verrouillage sur R3. À noter que le gameplay n’incluant toujours pas de barre d’endurance, il est donc possible et fortement recommandé de castagner à volonté ! Certaines mécaniques, présentes dans le précédent opus (le retournement rapide, l’esquive, ou encore le contre) ont toujours leur place dans le système de combat, qui est désormais beaucoup plus étoffé et beaucoup plus complet. Il est désormais possible par exemple d’appliquer des altérations d’état grâce à notre Hache Léviathan ou aux Lames du Chaos (altérations plus ou moins puissantes dépendamment de votre équipement). Autre exemple, celui de la rage, permettant à Kratos de se transformer en Bulldozer invincible, qui a été retravaillée et qui propose dorénavant une nouvelle option axée sur les soins, offrant ainsi plus de liberté dans notre approche au combat.
La dimension RPG du titre a également été revue. Libre à nous donc de crafter des équipements, d’améliorer ses armes et de les enchanter, de s’équiper de runes ou de porter des accessoires, tout ceci dans le but de nous donner un petit coup de pouce lors des altercations musclées. Si cet aspect est appréciable (chaque pièce d’équipement étant unique, et très bien modélisée), le menu quant à lui reste un petit peu fouillis de par la (trop ?) grande quantité de possibilités offertes à nous. Les arbres de compétences sont également de la partie, avec toute une panoplie de coups et de facultés déblocables par le biais de points d’XP que nous accumulons en éliminant des ennemis, ou en remplissant certaines tâches destinées à cet effet. La Hache, les Lames du Chaos, l’Arc d’Atreus et bien d’autres armes sont ainsi customisables grâce au large éventail de coups et techniques disponibles, ce qui permet à tout un chacun d’adapter son arsenal à son style de jeu.
Notons aussi que le jeu propose 5 modes de difficulté distincts, chacun étant très bien équilibré, allant du mode histoire pour celles et ceux souhaitant se concentrer sur la narration, jusqu’au mode God of War, qui sera parfaitement en mesure de titiller l’égo des joueurs les plus aguerris.
Enfin, vous l’aurez sans doute compris, le système de combat de Ragnarök est plus nerveux, plus jouissif, et en tout point supérieur à celui de son prédécesseur. Plus de liberté dans la préparation et l’appréhension des combats, plus d’ennemis différents grâce à un bestiaire nettement plus varié (excellente surprise en early game), plus de possibilités de craft, plus de variétés dans les choix liés aux compétences. Le sentiment de progression est également très présent, et s’aligne parfaitement avec l’intensité du story-telling. La puissance des combats augmente crescendo d’une heure sur l’autre, et cela est en adéquation avec l’amplitude des évènements que nous serons amenés à vivre. En somme, nous avons à faire à une véritable masterclass, et au vu des combats qui sont légion tout au long de l’aventure, nous ne pouvions espérer mieux.
Valhalla Rising
Fracasser des crânes à grands coups de hache, ce n’est pas déplaisant, mais qu’en est-il de l’immersion et de l’exploration ? Voilà un aspect sur lequel nous avions des attentes toutes particulières.
Au vu des premiers trailers disponibles, nous avions le sentiment que les zones seraient plus nombreuses, plus vastes, et qu’elles nous permettraient de nous retrouver seul face à des environnements vertigineux et hostiles. Que ce soit par le biais de la quête principale ou par les nombreuses quêtes annexes que le jeu propose, l’aventure nous embarque tantôt sur des sommets offrant des panoramas somptueux, tantôt dans les profondeurs souterraines aux allures de cavernes mystiques. Les quêtes annexes sont par ailleurs particulièrement bien intégrées dans le storytelling, et ne font en rien office de remplissage, puisqu’elles apportent toutes leurs lots d’information venant compléter la mythologie du jeu.
De plus, certaines zones sont désormais plus ouvertes (à l’image de beaucoup de AAA récents chez Playstation), nous permettant d’altérer entre des déplacements sur l’eau, ou sur la terre ferme, et il est désormais possible de visiter 9 royaumes (contre 6 dans le précédent opus). Chacun de ces royaumes possède une identité artistique propre et propose des environnements majestueux, que nous ne pouvions nous empêcher de contempler pendant de longues minutes. Si la menace de l’hiver aurait pu contraindre Santa Monica à proposer une majorité de niveaux enneigés, nous tenons à vous rassurer : il n’en est rien, car effectivement, les royaumes n’ont pas tous le même rapport avec le Fimbulwinter, et donc, la variété des zones est véritablement une force du jeu. Ouf !
Si l’exploration est quelque peu gratifiante (à l’image des précédents épisodes, nous tomberons sur des coffres de différentes couleurs, chacun offrant tout à tour des items de craft, de l’argent, des améliorations pour les barres de santé et de rage, ou encore des pièces d’équipements plus rares), nous nous devons d’exprimer notre petite déception, principalement dû à la linéarité du jeu. Le sentier est certes semé d’ennemis, la verticalité est plus nette, mais le parcours reste très balisé, voire trop. Si la narration du jeu est sans conteste difficile à remettre en cause, les marquages sur les murs sont flagrants, les murs invisibles très présents (ajouter au fameux bouton saut qui n’existe plus) et les commentaires de nos alliés peuvent parfois nous remettre brutalement dans la direction que le jeu aura choisie pour nous, ce qui, naturellement, provoque un effet très « Jeu Vidéo » qui aurait pu être nuancé par une plus grande confiance accordée aux joueurs.
God of… Wow !
Kratos n’a point pour habitude de faire dans la dentelle, et plutôt que de tourner autour du pot pendant des heures, nous préférons aller droit au but en affirmant que God of War Ragnarök est l’un des plus beaux titres actuellement disponibles, et ce, malgré la proposition cross-gen venant évidemment limiter le potentiel visuel du jeu. Par ailleurs, le titre est très bien optimisé. Aucun bug à signaler, et tout est fluide.
Le jeu est visuellement époustouflant, chaque zone fourmillant de détails, traduisant un véritable travail d’orfèvre de la part des équipes de Santa Monica Studios. Le gigantisme ayant fait la renommée de la franchise est ici magnifié par des effets de lumières saisissants et des décors resplendissants de réalisme. La modélisation des visages et des animations n’est pas en reste, puisque nous frôlons le photo réalisme par moments. En somme, c’est un authentique uppercut que nous avons pris dans les dents, et ce ne fut pas pour nous déplaire.
Outre les graphismes, les animations, d’une façon générale, sont de très haute volée. Kratos nous paraît plus souple, plus agréable à prendre en main que par le passé, et les ennemis, notamment les plus imposants, sont désormais capables de se mouvoir avec une crédibilité déconcertante. L’expérience de jeu est d’autant plus immersive grâce au travail effectué sur la DualSense, avec son utilisation très efficace et très juste des vibrations et retours haptiques, qui ajoutent une autre dimension à notre aventure, d’autant que le titre nous propose une variété d’armes et de possibilités généreuse, permettant de prolonger l’immersion.
Enfin, veuillez noter que le jeu propose deux modes graphiques : Performance et Résolution. Le premier privilégie la fréquence d’images avec un 60FPS/4K, et reste notre préférence, de par la fluidité qu’il offre, notamment lors des phases de combat. Le mode Résolution, stable à 30 FPS, privilégie la qualité d’image globale, mais n’offre pas autant de confort que le mode performance. Enfin, à noter que le jeu propose un troisième mode graphique, permettant d’améliorer encore les performances des deux modes évoqués précédemment, jusqu’à 120 HZ, si tant est que vous soyez équipé d’un téléviseur adapté.
À Thor et à raison
Grande force de l’opus de 2018, la narration de Ragnarök nous entraîne à nouveau dans un déluge d’émotions. Entre fureur, humour, tristesse et empathie, le côté humain du titre ne fait que sublimer ce qui nous a d’ores et déjà été proposé par le passé. Dès les premières heures du jeu, nous comprenons aisément que les rapports entre Kratos et Atreus ont évolué, le premier étant plus à l’écoute, plus empathique, et le second plus confiant et plus à même d’appréhender les réactions et comportements de son père. Car si Kratos était au centre de notre premier périple, Atreus est désormais au cœur de l’histoire de God of War Ragnarök et c’est bel et bien pour lui que nous entreprenons cette nouvelle épopée afin d’obtenir des réponses quant à son rôle à jouer face au Ragnarök.
Cette relation, profonde et intimiste, est elle-même imbriquée dans une multitude de connexions que nos héros auront avec leurs alliés et leurs ennemis mais aussi avec la fatalité qui semble les attendre. Nul doute ici : les scénaristes de Santa Monica Studios sont au sommet de leur art. Rarement un jeu de type action/aventure/RPG nous aura proposé une telle narration, ponctuée de dialogues convaincants, poignants, authentiques, sans jamais tomber dans la facilité ou dans la volonté de nous surprendre à tout prix. Le Codex, par exemple, est une nouvelle façon pour le jeu de retranscrire les émotions de Kratos, directement par écrit, et il s’agit d’une idée que nous trouvons pertinente car réellement introspective.
Cette introspection, nous la retrouvons également en tant que joueur, le jeu souhaitant vraisemblablement nous pousser à la remise en question de nos propres rapports à la vie (que nous aurions pu voir se concrétiser avec des choix narratifs, peut-être ?). Le pardon est-il réservé aux mortels, ou existe-t-il chez les Dieux ? Quel est le prix à payer pour changer de destinée ? Comment réagir face à un destin funèbre imminent ? Tant de sujets et de problématiques abordés, qui ont su nous captiver pendant nos 25h de jeu. Par ailleurs, nous estimons la durée de vie de la quête principale à 18h, et environ 40h pour l’obtention du Platine, ce que nous considérons comme solide pour un action – RPG solo.
Petite mention spéciale pour l’écriture des personnages secondaires, qui bénéficient tous d’un traitement véritablement réussi. Brok et Sindri, qui étaient déjà très appréciés, sont encore plus touchants. Mimir quant à lui est toujours aussi fugace, mais pour autant pertinent et nous a fait sourire plus d’une fois. A noter que l’immersion se fait tout aussi bien en anglais (notre préférence, pour des raisons évidentes, brother !) qu’en français, grâce à une traduction et une prestation de bonne facture de la part des doubleurs.
Que donne God of War Ragnarök sur PS4 Pro ?
Outre le test que vous venez de lire et qui a été réalisé sur PS5, nous avons aussi eu la possibilité de jouer à God of War Ragnarök sur PS4 Pro, pour faire une comparaison graphique.
Et autant le dire tout de suite : le jeu est à tomber par terre sur PS4 Pro. Nous pouvons affirmer sans sourciller que c’est le plus beau jeu de la console avec The Last of Us Part II. Il est clair que Santa Monica n’a pas lésiné sur les moyens pour donner à sa version PS4 une qualité presque égale à la PS5. Ainsi, si la cross-gen limite un peu les performances du jeu sur PS5, la version PS4 pousse la console dans ses retranchements et réalisé un authentique exploit. Les environnements sont beaux, les textures sont de très bonne facture, et on sent le gap avec les anciennes exclusivités Sony. Pour les joueurs PS4 (Pro, nous n’avons pas joué sur PS4 standard), allez-y donc sans crainte : Santa Monica ne vous décevra pas. Découvrez ci-dessous quelques screens de God of War Ragnarök sur PS4 Pro :
Il faut cependant noter des animations faciales un peu en deçà de la version PS5 (TLOU 2 est par exemple bien meilleur dans ce domaine). Et surtout, si vous achetez la version PS4, nous vous recommandons vivement d’y jouer avec un casque. Car en effet, développer un jeu de 2022 sur une console de 2013 ou même 2016 vient avec des concessions : jamais nous n’avons entendu notre PS4 Pro aussi bruyante. Si cela paraît inévitable pour apporter un tel jeu sur PS4, le confort de jeu s’en retrouve néanmoins bien amoindri, et c’est quelque chose qu’il faudra accepter si vous jouez au titre sur PS4. Sachez enfin qu’il faudra entre 20 et 25 secondes de chargement entre votre lancement du jeu et le gameplay (alors que c’est bien plus rapide grâce au SSD de la PS5), et de même, les temps de chargement quand vous changerez de royaumes seront un peu plus longs aussi.
Pour terminer, découvrez ci-dessous notre test VIDÉO, réalisé par un autre rédacteur de PlayStation Inside avec un autre point de vue !
CONCLUSION
God of War Ragnarök
C’est donc cette cohérence parfaite entre tous ces éléments qui nous pousse à affirmer que Ragnarök s’élève plus haut que son prédécesseur. Le jeu est une excellente suite, et parfois même plus qu'une suite. Tout est interconnecté, et le jeu, au même titre que ses protagonistes, est en évolution constante du début à la fin de l’aventure, pour finir, comme à l’accoutumée, par un final mémorable. L’équilibre quasi-parfait du jeu est en quelque sorte une façon pour nous joueurs d’appréhender cet aspect dans nos propres vies : le chaos et la joie sont les deux faces d’une même pièce, et seule la poursuite d’un équilibre peut nous permettre, à nous et à nos héros, de finalement trouver la paix. Difficile donc de marcher sur les traces d’un titre qui a posé les jalons d’une fantastique aventure, et pourtant, c’est avec brio que Ragnarök sublime cette formule, que nous aurions toutefois aimé voir un peu plus libre pour le joueur. Il est certes compréhensible que l’effet de surprise ne soit plus aussi présent que lors de la sortie du premier épisode, néanmoins, le jeu fait mieux sur tous les niveaux, et cela suffit pour affirmer que nous avons à faire, une nouvelle fois, à un chef-d’œuvre de production. Ce qui est certain, c’est que les aventures de God of War sont loin d’être terminées, et que nous avons déjà hâte de retrouver cette formidable épopée.
LES PLUS +
- Épique comme jamais
- Un équilibrage et une optimisation parfaits
- Excellente durée de vie, un rythme très juste
- Une narration maîtrisée de bout en bout : que d'émotions ! Et cette fin...
- Techniquement sublime, que c'est beau !
- Un gameplay fun, varié, évolutif, tout comme le bestiaire
- Des personnages attachants, et un humour bien dosé
- Une bande-son magistrale de Bear McReary
- Très bonne utilisation de la DualSense
- Magnifique sur PS4 Pro...
LES MOINS -
- ... mais le jeu fait souffler la PS4 bien trop fort, amoindrissant le confort de jeu
- L'exploration un peu trop balisée et dirigiste pour un jeu de 2022
- Manque de lisibilité des menus
- Un effet de surprise naturellement moindre
Excellent test !
Bonjour, cest vrais en PS4 Pro c est magnifique. Par contre; j ai acheté le jeu en CD (physique) ici en France et je n ai pas l option de mettre des voix en espagnol, j ai les option de l italien ,allemand, anglais, français mais je n ai pas des voix en espagnol. Comment je peut faire??